Une femme écrit des lettres fictives à Albert Camus, qu’elle n’aurait pas pu rencontrer mais qu’elle a toujours vénéré, avec qui elle a tant en commun. Même terre natale, qui autorise la volupté du corps et de l’esprit, dans la lumière, les couleurs et les parfums, la succulence des jardins… la beauté du monde, la grâce sans la pesanteur. L’Algérie qui leur est commune, somptueuse bâtardise à la croisée de la tradition et de la modernité, aurait pu consentir à une ascendance mythique et réaliser l’utopique unification méditerranéenne, base d’un humanisme fondateur… les regrets aussi leur sont communs.
Auraient-ils pu avoir une liaison ?
Albert Camus, l’écrivain qu’on admire… et l’homme qu’on imagine.
pertinent pour que vos lecteurs le lisent du début à la fin.